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| | | Astrid L. Fletcher - « Si je ne peux pas couper de têtes, au moins pourrais-je faire poignarder des gens ? Des indésirables ? » |  |
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+2Cassiopeia N. Baranovski Astrid L. Fletcher 6 participants | | Auteur | Message |
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Astrid L. Fletcher
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Date d'inscription : 06/09/2009
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Localisation : Au coeur du Château...
 |  Sujet: Astrid L. Fletcher - « Si je ne peux pas couper de têtes, au moins pourrais-je faire poignarder des gens ? Des indésirables ? »  Dim 6 Sep - 9:07 | |
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Cory Kennedy | Astrid Ludvianna Fletcher dite l'As de Pique."Quelle sensation ça fait, de
pouvoir ordonner qu'ont
coupe la tête de quelqu'un ? Le
pouvoir ? La puissance ? "
Astrid Fletcher
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1) Hier, c'était votre non-anniversaire. Une grande fête a donc été organisée en votre honneur dans la clairière. C'est vous qui avez décidé de son déroulement, des costumes, des invités et vous vous êtes même offert des cadeaux. Racontez-nous comment ça s'est passé.
En me réveillant hier matin, alors que les chauds rayons du soleil commençait à peine à éclairer le manoir, j'ai ressentit une étrange sensation. La sensation de ne plus avoir 16 ans ; la sensation de ne plus me trouver à mi-chemin entre les crises d'adolescentes et le presque-âge-adulte. J'avais 17 ans. Un âge peut-être encore jeune, du moins dans mon propre esprit. Car William commençait déjà à parler de mariage, depuis des mois qu'il discutait allègrement avec mes parents de tout les arrangements que nous pourrions effectuer pour la fête, de toutes les portes que cela nous ouvrirait. La famille de William était très proche de la mienne ; je le connaissais depuis mon plus jeune âge. Je n'étais pas bien certaine d'être amoureuse de lui, bien que chaque baiser qu'il me donne, chaque parole qu'il me dise, me rende très heureuse. Mais pas dans le bon sens du terme. J'étais heureuse de le voir, sans plus. Ce n'était pas le coup de foudre, pas le genre d'amour qui brillait dans les yeux de la Reine quand elle parlait de son propre mari. Cette étincelle, je l'avais vue maintes fois. Quand nous prenions le thé avec les autres dames de la société, ou encore quand elle et moi discutions de mes possibles projets d'avenir. Une chose était sûre, cependant. Elle n'avait et ne serait jamais confrontée à un dilemme comme le mien : avouer ou non mes véritables sentiments à William. Je me disais que les temps changeraient, je me disais qu'il arrêtait peut-être de critiquer les Cartwright et qu'alors notre relation de couple s'améliorerait. Bravo. Mon seul espoir résidait en un effort de sa part ; c'était peine perdue. William détestait Zadig et Rosemary, j'étais contente que personne ne lui ait fait couper la tête jusqu'à maintenant. En reconnaissance pour moi, peut-être. Ou juste par manque de temps. Ainsi donc, comme à chacun de mes anniversaires, chose quasi-sacrée dans ma famille ; surtout étant donné le fait que j'étais une fille unique-pourrie-gâtée, je fus confiée à ma femme de chambre, Marthe. J'aimais beaucoup Marthe, pour sa personnalité plus qu'autre chose. Elle était grosse, laide, elle portait des vêtements horribles et se maquillait mal, mais elle restait, en définitive, la mère responsable que je n'avais jamais eut. Ma véritable mère, Olivia, passait pour son compte ses journées entières et complètes, inlassablement, à se prélasser dans des bains chauds et mousseux ; peu importe s'il y avait ou non anniversaires quelque part. Et mon père - si seulement vous saviez comment il est - n'aurait jamais daigner quitter le confort et le calme de son bureau. Comme toujours, je fêterais seule, avec mes amis, les autres, les vieux, les riches, les Rois, un autre anniversaire dont je me souviendrais ; eux non. Souvent, je regrettais d'être fille unique. J'avais bien quelques cousins, quelques cousines, mais mon père entretenait un lien si effiloché avec ses deux frères que je ne les avaient quasiment jamais vus de toute ma vie. Et, selon ma mère, qui gardait elle-même rancune contre ses beaux-frères, c'était une bonne chose. « - Mademoiselle ! » hurla Marthe de sa voix rauque et grave une fois que j'eus débouler dans la cuisine, égayer des odeurs habituellement associés aux anniversaires ; mets en tout genre. « Je ne vous attendais pas si tôt, tout vos invités ne seront là que dans quelques heures ! Vous n'avez pas sommeil ? » Les invités. Des être si essentiels au bon déroulement de la fête... Mon anniversaire, comme à chaque année, était un bal de soirée ; tous devraient donc se présenter en tenue habillée, chics, dignes ; de mémoire d'hommes aucun paysans ne s'y était jamais présenté. Ce serait aussi le cas de mes parents ; mais tout les invités feraient à semblant de ne pas le remarquer, par simple politesse. Je savais qu'une seule et unique personne s'y attarderais vraiment, comme toujours. William. Je pleurerais sûrement un peu, il m'emmènerait danser tout au fond de la clairière, et, comme à chaque année, je finirais la soirée à discuter actualités avec la Reine Cartwright. J'aimais beaucoup la Reine Rosemary ; son mari également. Ils étaient pour moi des sortes de grands frères et grandes sœurs, des gens sur qui je souhaitais prendre exemple, des gens qui, tout au long de mon enfance, avaient été les représentants même de la haute aristocratie. Ils étaient les maîtres. William. Rosemary. Zadig. Marthe. Les quatre personnes les plus importantes de ma vie. Il y avait ensuite Olivia, ma mère. Bertrand, mon père. Et, pour finir en beauté, Mercuriel, mon chat, nommé ainsi en l'honneur de je ne sais quelle lubie de ma mère ; c'était en fait le sien. Mais il me préférait à elle. Ça se voyait. « - Je ne trouvais pas sommeil, Marthe. » répondis-je avec la voix la plus mielleuse du monde, la voix qui, loin d'être méchante, lui ferait cependant comprendre qu'il n'était pas nécessaire d'argumenter. Comme elle était passablement habituée à mon caractère délicieusement changeant, elle n'eut pas de réaction, retournant à la confection du petit déjeuner « familial ». Ma mère le prendrait dans son bain ; mon père dans son cabinet ; et moi avec Mercuriel sur le grand fauteuil de velours du séjour. C'était la routine. Même pour mon anniversaire. Les invités, selon le planning que j'avais soigneusement envoyer à l'aide de William jusqu'aux invités, ceux-ci devraient arriver à 17h00 précise, heure à laquelle l'orchestre engagé par mes soins commencerait ses valses. Le dîner, préparé par les meilleurs traiteurs de la ville (auxquels Marthe apportait toujours son aide, soucieuse) serait servit à 18h15 précises. Le tout, comme à chaque année, se déroulerait sans encombres. Il y avait cependant une chose qui me faisait peur. William avait parlé d'un « cadeau très spécial ». Je vous le jure, il me sort une bague de fiançailles, je l'envoie promener devant tout les invités. Hors de question de me marier à 17 ans. Sauf si, bien sûr, cela devient vraiment nécessaire. « - Madame votre Mère tient à ce que vous alliez la voir. » me dit Marthe en battant énergiquement quelques œufs dans un plats de céramique. « Elle a dit que cela était très important. » Connaissant ma mère, ce ne serait rien. Ma mère ne pensait pas, elle ne réfléchissait pas, elle ne faisait que prendre des bains, des bains en tout genre, avec toujours plus de mousse, pour son propre plaisir. Tellement que, à la longue, la maison entière sentait le parfum. C'était franchement écœurant, surtout pour une personne à l'odorat aussi fragile que Mercuriel. Allons, un peu de pitié pour la gente féline ! Je tentai de m'imaginer un moment à sa place. Moi, à son âge, avec un seul enfant classé responsable, un mari distant et une bonne aussi dévouée que Marthe. En fait, au vue de la vie si peu mouvementée de ma mère, il était tout à fait normal qu'elle ait finit par se trouver un hobby. Mais que celui-ci consiste en une séance de bains quasi-constante était, disons, troublant.
Quelques heures après ma magnifique discussion avec ma mère, qui portait en fait sur les étranges boules de poiles régurgitées par Mercuriel...
« - Mademoiselle Fletcher ? Astrid ! » fit une voix dans mon dos, au moment où les musiciens achevaient leur première valse - laquelle avait été tellement mieux accueillie que, même sans musique, la plupart des couples continuaient de danser, se faisant virevolter dans la clairière, au rythme de leurs propres mots d'amours. Je pivotai aussitôt sur moi-même ; j'avais passer la soirée à discuter de tout et de rien avec des têtes d'élite, et rencontrer enfin quelqu'un qui ne soit pas... Oncle Todd. Qu'est-ce qu'oncle Todd fait ici ? Heureusement que Papa n'est pas ici, il n'aurait sans doute pas été content. Todd, ou Theodorinus pour ceux et celles qui ne sont tout simplement pas capables de prononcer son surnom - dont mes parents - est le frère cadet prodige de mon père, celui qui, a l'acception peut-être de son prénom, a tout pour lui. Todd, selon mon père, avait abandonnée la famille, il y a bien longtemps. Mais, si vous voulez mon avis, c'est plutôt la famille elle-même qui l'a abandonnée, ayant toujours préféré mon père, le fils aîné, celui qui plus tard devrait hérité. Todd et Jackmen (l'autre frère de mon père), n'avaient été que des remplaçants. Comme Harry pour William, comme Cari et Madeleine pour Victoria. Les choses étaient ainsi faites. Moi, je n'avais pas de remplaçant. Du moins, pas directement... Todd, si je me souviens pas, avait une fille, dont j'ai oublié le nom. Il l'avait eut très jeune, il n'était même pas majeur je crois, elle avait une bonne dizaine d'année de plus que moi. Si jamais je pourrais dans d'horribles et mystérieuses circonstances, ce serait elle (ou plutôt son père) qui obtiendrait la fortune. Mais Todd et Jackmen, en bons cadets, avaient trouvés un moyen efficaces de faire de l'argent. Des rachats et des ventes d'entreprises, par exemple. À la mort de mes grands-parents, tout deux morts à quelques jours d'intervalle quand j'avais 6 ans, ils avaient bien hérités d'une petite somme, mais du moins... Mon père les traitaient constamment d'égoïstes et de menteurs, il leur mettaient la mort de mes grands-parents sur le dos. En gros, il ne devait pas les voir ici. « Oncle Tooddddd ! » m'exclamai-je en insistant si longuement sur son surnom, comme pour accentuer mon faux effet de ravissement, que je finis moi-même pas me donner mal à la tête. C'était quelque chose. « Comment ça vaaaa ? Ta famille va bien ? Et Jackmen ? » Je sus que j'avais fait une erreur quand, à la mention du nom de son frère, Todd éclata en sanglots convulsifs et précipiter. Ça venait complètement gâcher ma fête d'anniversaire, Seigneur ! J'aurais dus faire quelque chose, je le savais, mais la seule chose que je trouvai à faire fut de perdurer dans mon hypocrisie. « Mais qu'est-ce qui ne va pas ? Oncle Todd ! » Il s'essuya les yeux, pivota sur lui-même. Je savais qu'il cherchait mon père des yeux ; je me disais cependant que feindre son absence aurait été une bonne idée, jusqu'à nouvel ordre. « Jackmen est mort. » Oups. Zut. Vite, je dois aller chercher Papa.... Mais où est-il ? Ne sachant plus trop quoi faire avec mon Oncle, je le pris par le bras et, bravant la foule de curieux, nous remontâmes la clairière jusqu'à la maison. Je me demandais comment il avait fait pour me reconnaître.... Eum. J'étais au centre de toutes les attentions, et une énorme banderole sur laquelle on pouvait lire : "Joyeux Anniversaire Atrid !" avait été accrochée entre les arbres. Si ça ce n'est pas de la perspicacité... Je devais trouver mon père, ou du moins ma mère, et rapidement, avant que cette crise de sanglots stupéfiante ne dégénère. Je n'avais jamais vu Jackmen, il était donc très improbable que je finisse par pleurer aussi. Quand il me vit passer devant lui, William arqua un sourcil inquiet. Ce n'est pas tout les jours qu'on voit un homme en crise d'hystérie. Todd, les yeux fermés, ne remarqua même pas quand je me penchai vers William. « Il faut que tu ailles chercher mon père, d'accord ? Il doit être dans son bureau. Dis-lui que c'est urgent. Extrêmement urgent. Tellement urgent que... que... que c'est une question de vie ou de... d'héritage ! Il viendra à coup sûr si tu lui parles d'argent. Bernes-le. Mon oncle est mort. Ne lui dis pas tout de suite.» J'avais dis tout cela tellement rapidement, sans même reprendre mon souffle, que William sembla comprendre aussitôt la gravité de la situation, il détala dans la clairière jusqu'au manoir. J'imaginais déjà la réaction de mon père....
Après les engueulades de mon père et Oncle Todd, après les faux sanglots de ma mère, après les valses avec William dans la clairière. Cette-dernière est vide. Il est deux heures du matin.
J'étais assise entre ma mère et mon père, lequel me lançait des regards inquiétants, comme s'il attendait le bon moment pour me dire quelque chose d'important. De très important. Mon oncle, assis sur le fauteuil de velours rouge du salon, celui où j'aurais normalement dus passer une bonne partie du reste de la soirée, pleurait toujours, ce qui semblait dégouté mon père. Et William, appuyé contre le mur, resté-là car mon père le lui avait demandé, ne semblait plus rien comprendre du tout. Finalement, au bout de quelques minutes d'angoisse profonde, j'exagère peut-être un tantinet, mon père se leva, passa son bras autour des épaules de William et le fit asseoir à côté de moi. « Astrid, ma chérie, tu sais que ta mère et moi comptons t'envoyer dans la Résidence du Palais plus tôt, cette année ? Passer les vacances ici t'as peut-être plus, mais c'est terminé... De plus, il faudrait que tu commences à penser à ce que tu voudrais faire une fois majeure.» Il aurait été aussi de me le dire tout de suite. Il voulait que je me marie. Et j'avais la nette impression que la mort de Jackmen avait précipitée les choses. Ouep. Dans un an, je devrais épouser William. Ou tout autre fils de bonne famille, c'était selon mon bon vouloir, affirmait mon père. Super. Mais d'un côté, je me sentais incapable d'abandonner William. Aucune autre fille ne voudrait de lui, et je sais bien ce que je dis. Il suffisait quelle fasse ne serait-ce qu'une toute petite chose de travers et il lui crierait dessus. C'était avec William que j'avais appris à perfectionner la perfection qui émanait déjà de mon être. La vie de riche peut vraiment être compliquée, parfois...
Et derrière le masque, qui se cache ?
PSEUDO : Bliss ^^
AGE : 15 ans et des poussières...
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM : Eh bien je l'avais déjà vu une première fois il y a quelques semaines ou mois, je ne sais pas combien exactement, mais comme j'étais débordée je n'avais pas put m'inscrire. Mais, donc, me revoilà !
COMMENTAIRE ? : J'aurai le droit de couper des têtes moi aussi ? ^^
Dernière édition par Astrid L. Fletcher le Dim 6 Sep - 16:16, édité 1 fois | |
|  | | Cassiopeia N. Baranovski
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| | | | | Narcisse Lutwidge
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| | Sujet: Re: Astrid L. Fletcher - « Si je ne peux pas couper de têtes, au moins pourrais-je faire poignarder des gens ? Des indésirables ? » Dim 6 Sep - 13:12 | |
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| | | | Astrid L. Fletcher
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| | | | | Domitille U. MacLeod
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| | | | | Astrid L. Fletcher
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| | Sujet: Re: Astrid L. Fletcher - « Si je ne peux pas couper de têtes, au moins pourrais-je faire poignarder des gens ? Des indésirables ? » Dim 6 Sep - 18:41 | |
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| | | | Domitille U. MacLeod
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| | | | | Astrid L. Fletcher
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| | | | | Domitille U. MacLeod
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| | Sujet: Re: Astrid L. Fletcher - « Si je ne peux pas couper de têtes, au moins pourrais-je faire poignarder des gens ? Des indésirables ? » Dim 6 Sep - 20:13 | |
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Un tordu à la hache plierai devant moi.
La petite huître ne peut pas avoir peur d'Astrid puisqu'elle a la reine et roi de son côté. gniark gniark
Mais il va de soi que les chamois étaient iclus dans le panier.
Donc, quoi qu'il en soit, je vais cesser de flooder dans ta présentation sinon je vais me faire couper la tête.
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| | | | Elzear J. Sorensen
Le Chapelier Toqué
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Localisation : Perdu Dans Ses Tasses En Ebulition
| | | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Astrid L. Fletcher - « Si je ne peux pas couper de têtes, au moins pourrais-je faire poignarder des gens ? Des indésirables ? » Dim 20 Sep - 17:22 | |
| Avant tout bienvenue sur White Rabbit, je suis désolée, mais quelque chose me gène dans la présentation. Tout d'abord Astrid est amoureuse de William, réellement, même s'ils se disputent ce n'est que pour mieux se retrouver un peu plus tard; j'ai l'impression que tu n'as pas vraiment saisit ce point. Ensuite juste pour Rosemary, tu es une élève prometteuse, mais je la voix mal parler potin avec toi; la Reine de Coeur est un peu au-dessus de tout cela. Sinon ta façon d'écrire est sympa, corrige moi cela et je te valide avec plaisir  |
| | | | Narcisse Lutwidge
Modérateur et SexSymbol
Messages : 703
Date d'inscription : 26/06/2009
Age : 35
| | Sujet: Re: Astrid L. Fletcher - « Si je ne peux pas couper de têtes, au moins pourrais-je faire poignarder des gens ? Des indésirables ? » Mer 7 Oct - 16:10 | |
| Cela fait maintenant un mois que tu as posté cette fiche.
Veux-tu réellement le rôle? | |
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| | Sujet: Re: Astrid L. Fletcher - « Si je ne peux pas couper de têtes, au moins pourrais-je faire poignarder des gens ? Des indésirables ? » | |
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| | | | | | Astrid L. Fletcher - « Si je ne peux pas couper de têtes, au moins pourrais-je faire poignarder des gens ? Des indésirables ? » | |
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