L'art de se faire passer pour un idiot... Wood'

L'Imbécile Intelligent. Messages : 25 Date d'inscription : 05/09/2009 Age : 30

Shia LABEOUF

Adrian Woody PARSTONE

dit L'imbécile intelligent.

"I'm on my hamburger phone. It's just like really awkward to talk on"

JUNO

1) Hier, c'était votre non-anniversaire. Une grande fête a donc été organisée en votre honneur dans la clairière. C'est vous qui avez décidé de son déroulement, des costumes, des invités et vous vous êtes même offert des cadeaux. Racontez-nous comment ça s'est passé.

Est-qu’il aurait pu, ne serait-ce qu’un minimum penser à sa fête ? Après tout, ce n’est pas tout les jours qu’on peut fêter son non-anniversaire. Eh bien, si évidemment, et bien entendue. Les yeux verts du jeune homme étaient posé sur une petite feuille dans ses mots. Le premier qui lui pourrissait sa fête allait passer un sale quart d’heure, il le promettait, il l’avait même noté sur le carton d’invitation. Bon, d’un autre côté, qui allait prendre la menace de la tapette au pied de la lettre ? Personne, seulement personne ne soupçonne encore le corps d’athlète de notre Wood’ sous ses vêtements. Rappelez vous que Ad’ est en réalité assez musclé, même si cela ne e voit pas tellement, il a de la force, il est adroit, il est seulement maladroit et très peu endurant. Et puis, en tant que petit bagarreur, il adore ce battre, normal. Pourtant, les gens pensaient plutôt de lui qu’il était incapable de faire de mal à une mouche, sachant la gentillesse qu’il démontre à tout le monde, bah quand il faut y aller, il faut y aller ! Patient, il attendait que chaque personne se présente à lui avec le carton d’invitation qu’il avait prévu. C’était un carton d’un blanc éclatant, aux écritures multicolores, il ordonnait aux invités de venir dessiné en animaux géants. Merci l’esprit fou du jeune homme et c’est partit pour la fête.

ADRIAN

Premier vent de panique… Qui a dit qu’il était gai ? Et on se faufile entre les tables rondes disposées de part et d’autre dans l’herbe, et on se faufile entre les gens sur la piste de dance, et on se faufile entre les invités déguisés en animaux, et on se faufile le long du buffet. Et on se retrouve finalement à la table au cadeau… Pour l’instant vide. Et hop, un dans la boîte, et hop, on a semé le seul homosexuel de la fête, et hop, le tour est joué. Ad’ ne savait pas vraiment pourquoi il avait invité cette personne. Surtout qu’il était conscient d’avoir invité un certain nombre de personne qu’il ne connaissait pas, en plus avec sa mémoire de poisson, il ne savait même plus qui il avait invité dans les personnes qu’il connaissait. C’est pour vous dire que chaque visage sous les masques étaient purs surprises pour lui. C’était un peu comme si il ne connaissait personne, puisqu’il était incapable de mettre un prénom sur un visage. Enfin, bon, passons. En tant que bout en train, la soirée fût assez bien entretenue. Avec ses blagues, ses phrases philosophes et son sens de l’humour hyper développée, la soirée fut réussie, l’ambiance au rendez vous.

Pourtant, la fête avait été préparé au dernier moment, chose qui ressemble bien à Ad’, il avait envoyé les cartons d’invitations trois jours avant la fête, le décors avait été préparé le jour même par ses soins, comme quoi quand il veut être efficace, il n’y a pas de problème. La fête se déroulait sur une grande plaine d’herbe verte coupée à ras, les tables rondes aux nappes de toutes les couleurs disposées un peu partout autour de la piste de danse se trouvant sous un grand haut vent blanc. Des rubans, des ballons, des banderoles, étaient accroché un peu partout, partout où l’on pouvait accrocher quelque chose, en réalité. Comme l’avait ordonné les petits cartons des invités, chaque personne était venue affûter d’un magnifique costume d’animal. Et, s’il vous plaît, quelque chose d’original. Des animaux, partout !

En début de soirée, mis à part l’homme aimant les hommes qui avait tenté une approche auprès de notre cher ami, Ad’ avait passé sont temps à contrôlé les cartons d’invitation de chaque personne qui tentait d’assister à la fête. Maniaque, personne n’avait intérêt d’entré avec un costume taché, ou toute autre chose suspecte capable de le déranger. Par exemple, une personne crût bon de se présenter avec des lunettes de travers. Aller savoir ce que venait faire les lunettes dans son déguisement, ni une ni deux, on remet ses lunettes droites et que ça saute ! C’était bien dur de faire passer le jeune Parstone au côté obscur, de le faire devenir méchant, de le mettre de mauvaise humeur, et de le faire arrêté de sortir des blagues à tout bout de champs. Décontracté, calme, joyeux, il accueillait chaque personne avec un sourire et une phrase destinée à les mettre de bonne humeur dès le début. Pouvant parfois taper sur les nerfs, il s’en fichait complètement. Et je peux vous dire qu’une fois la paperasse rangée, il était partit pour passer son non-anniversaire à faire rire la moitié de la piste de dance. En tout gamin qui se respecte, il avait toujours des bonbons dans les mains, une farce en tête, ou toute autre chose capable d’amuser la galerie. Insouciant, il ne prêtait guère attention aux verres brisées, table renversées. Insouciance, quand tu nous tiens ! Il put tout aussi bien s’amuser à prendre des photos, son passe temps favoris. Et hop, le gars qui recrache tout son verre par le nez, dans la boîte, hop, la fille qui danse en cassant son talon, dans la boîte, hop, le couple qui s’embrasse derrière un arbre, dans la boîte. La photographie, son passe temps, il avait des tonnes de clichés assez bien dans sa petite pellicule.

La soirée se déroula facilement sur plus de 7 heures, mon dieu, qu’on ne s’ennuie pas. Le mieux, ce ne fût pas la remise des cadeaux, ni la folle frénésie qui prit les invité sur la piste de dance, ni le quart d’heure mis de côté pour prendre des photos, ni la petite bagarre qui avait éclaté parce que Adrian devait mentir et prétendre que la copine d’un tel était belle et sachant que son talent de menteur ne dépasse pas le moins 100 ils s’en sont venus aux mains, non, le mieux, c’était la cuite que tout un chacun s’était pris. En deux bières, il avait finit complètement mort, repoussant comme à son habitude les femmes, et les hommes, bien entendue, acceptant de manger douze fraises tagada d’un coup, acceptant de fumer un paquet de cigarette sans jamais utilisé les mains. N’importe quel défis était pris au pieds de la lettre. Quelle douceur…

On mange, on bois, on fume, on danse, on se frappe, on s’endort dans l’herbe, on s’embrasse, on rigole, on fait des blagues pas drôles, on se pousse, on se ridiculise, on se fait des câlins, on se couche tard.

Ne vous avais-je pas annoncé son déguisement ? Un lapin rose, pardis !

Spoiler:

L'Imbécile Intelligent. Messages : 25 Date d'inscription : 05/09/2009 Age : 30

2) Vous voilà bien attrapé ! Vous avez tardé à rentrer et vous voilà maintenant perdu au beau milieu du labyrinthe dans l'obscurité, faiblement éclairé par le croissant de lune. Comment allez-vous vous sortir de cette situation cauchemardesque ? Qui allez-vous rencontrer ?

Je dors, tu dors, il dort, nous dormons, vous dormez, ils dorment. Mais que fait-il ici, lui ? Avec ses yeux tous rouges, avec ses fines cernes dessinées dessous, avec son air hagard, avec ses bâillements cachés derrière sa main.

ADRIAN

Il marchait les mains dans les poches dans cet endroit sombre. La nuit était tombée, elle plombait l’ambiance de la journée, vaste plaine sombre, elle recouvrait le ciel de ses étoiles et de sa lune, lumière copiée. Ad’ n’aimait pas la nuit, pourquoi ? Avait-il peur du noir ? Oui. Etait-il superstitieux ? Oui. Il gardait ses réflexions pour lui même si parler avec cette belette blanche le détendait. Il regardait droit devant lui, mais que voyait-il ? Des haies, des feuilles, des branches, des trucs supers bien taillés, et puis… Personne. Mise à part cette belette, et on se demande bien d’où elle sort.

ADRIAN

Il baissa les yeux vers l’animal qui pointa son museau vers lui. Insouciant, ce n’était pas le fait de ne pas trouver la sortie qui l’inquiétait. Plutôt l’idée d’être attaqué par un Minotaure, comme il l’avait appris il ne savait plus où et il ne savait plus commun. Sa mémoire est très sélective, même si elle est quasi inexistante. Intelligent, observateur, il était en train de se demander si il n’avait pas déjà passé ce tournant.

ADRIAN

Il s’arrêta, examina avec attention cette minuscule branche qui dépassait de la haie. Mal taillée, tss tss tss, ça n’allait pas le faire. Il était bien trop maniaque pour laisser faire ça. Non non non, elle dépassait, elle n’était pas coupé à la même longueur que les autres. Il la cassa, sans modération, la rectifiant à la même longueur que ses camarades. Puis il se remit en marche, fourrant ses mains dans ses poches, le regard rivé devant lui, fixant un point invisible, les épaules légèrement voûtée, comme si il allait se prendre une massue sur les épaules (On en sait jamais, le Minotaure a beau ne pas exister, nous vivons dans un monde de fous !) Il marchait d’un pas lent, laissant l’animal blanc le suivre en silence. Tournant à un angle droit, Ad’ remarqua que le silence le démoralisait, chose très difficile à faire.

ADRIAN

Un simple souffle rauque lui vint en réponse. Il arqua un sourcil tout en essayant d’interprété la réponse.

ADRIAN

Il sourit, son célèbre sourire en coin, son sourire qui en faisait craquer plus d’une. Sauf sa mère. Son sourire fidèle au poste, son sourire chaleureux, qui montrait son affection. Wood’ était vraiment un garçon adorable, gentil, attentif, compréhensif, affectif. Il étai simple à comprendre, mais à la fois très complexe. C’est peut-être un bon point, si vous ne faites pas l’effort de chercher à le comprendre, il restera toujours un mystère pour vous, mais si vous en avez vraiment envie, vous le déchiffrerez parfaitement. Pendant longtemps, les gens ne faisaient aucuns efforts, dans ce monde. Il souffla, et tourna à gauche, croisant les doigts pour trouver la sortie, mais non, ce n’était pas le cas. La compagnie de la belette lui faisait oublier la présence des ombres aux coins des tournants, les bruits suspect qui transperçaient la nuit. Il passa une main dans ses cheveux, les ébouriffants plus que nécessaire. Il n’avait aucune notion de l’heure, incapable de dire si il était plus 22h du soir ou plus 2h du matin. Il n’avait pas de montre, pas de portable, qu’avait-il dans les poches ? Son I-pod, source de son sommeil, ses cigarettes, source de… Rien du tout. Ou était-il ? Dans le labyrinthe… Mais encore ? Au fin fond de nul part dans ce ***** de labyrinthe, perdu comme un vulgaire saucisson sans sens de l’orientation, sans eau ni nourriture (Il était bien trop gentil pour manger la belette), avec plus que deux cigarettes, il sentait même déjà que son sens de l’humour se dissipait. Il ne voulait pas mourir ici, sans aucun doute, et c’est sûrement pour ça qu’il accéléra le pas et prenant la belette dans ses bras. Elle était déjà destiné à devenir son nouveau compagnon. Je tourne à droite, à gauche, puis à… Je fais demie tour, je reprends à droite, je suis où j’étais il y a deux secondes, alors je vais à droite, puis à gauche, un coup d’œil vers les étoiles, y’en a plein, cool, je trébuche, je me fais griffer par une branche invisible, je tourne à l’angle sur la droite, et encore droite, encore droite, encore droite, encore droit, il y a un problème, je vire de bord, gauche toute.

L'Imbécile Intelligent. Messages : 25 Date d'inscription : 05/09/2009 Age : 30

3) Racontez-nous votre arrivée au pays des merveilles. S'est-elle déroulée sans encombres ? Êtes-vous tombé sur des personnages étranges ? Qu'avez-vous vu, entendu ? Bref on veut tout savoir.

ADES

ADRIAN

ADES

ADRIAN

LA VIEILLE DAME

ADRIAN

Un seul regard suffit à l’aîné pour que le cadet l’aide et attrape les maigres bras de la vieille femme. En quelques secondes, la dame fût de nouveau sur ses pieds, du moins aider par les deux jeunes hommes. Elle regardait, hagard, devant elle, alors que les deux garçons peinaient pour la maintenir debout. Alors qu’Adrian lui demandait quelques formalités, son frère ne faisait que grommeler, croulant sur le poids de la grand mère. Après plusieurs minutes pour la mettre en marche, ils traversèrent le champs de blé ornant la rive droite de la rivière, et ils arrivèrent rapidement à la maison de bois, leur maison.

ADRIAN

Bien que grincheux, le jeune homme écoutait toujours son frère, et il laissa son frère s’occuper de la vieille dame pour aller vers l’autre maison, en pierre, plus grande, plus belle. Les gens qui ne connaissaient en rien les deux frères étaient incapable de différencier l'aîné du cadet, et contre toute attente, c'est bien notre Woody le plus vieux. Adrian aida la vieille femme à s’installer sur un vieux sofa, et il lui demanda rapidement si elle voulait quelque chose. Cependant, elle ne cessait de délirer sur un trou, un terrier et il ne sait sur quoi d’autre. Il reconnut les pas de son frère, si lourd, rapide, et la frimousse de son petit frère apparut au coin de la porte.

ADES

ADRIAN

ADES

Adrian leva les yeux au ciel, et fit un signe à son frère pour qu’il déguerpisse. Non, Wood’ n’avait pas franchement l’intention d’épouser cette inconnue, il était curieux certes, mais il comptait juste la remettre en route, pour qu’elle puisse repartir. Cependant, pendant une heure, il tenta de nouer le contact, mais jamais elle ne répondit à ses questions. Pourtant, il lui demanda des choses censées être simples. Il lui avait demandé son prénom, mais elle lui répondit « Un joyeux non-anniversaire », alors, il lui avait demandé son âge, et elle lui avait répondu « Je suis en retard ! ». Puis, il avait enchaîner en lui demandant d’où elle venait, elle avait dériver sur je ne sais quel chapelier. Wouhou, elle avait complètement perdue la tête. Adrian passa la nuit dans le salon à la surveiller du coin de l’œil, oui, parce qu’elle restait là, à regarder droit devant elle la porte, comme si quelqu’un allait surgir pour venir la chercher. Wood’ n’est pouvait plus, il avait les yeux qui se fermaient tout seuls. Oui mais qu’est-ce qu’elle faisait là ? Qui était-elle ? Tant de question, tant de curiosité, tant de folie dans ses yeux. En réalité, ce n’était pas vraiment de la folie pure, celle qui fait qu’on perd la boule et qu’on devient un tueur en série, non, plus de la folie de fou. Oui, oui, c’est très explicite, disons plutôt que c’est Wood’ en plus poussé. Comme si elle venait d’un monde complètement déjanté, mais pourtant souriant. Oui, elle ne cessait de sourire, encore et toujours, avec ses yeux perdus, elle avait un sourire… Diabolique, et, il faut bien l’avouer, envoûtant. Il n’avait donc pu fermer l’œil, trop occupé à surveiller. Mais surveiller quoi, qui ? Elle ? Ou alors ce que elle même elle surveillait ? Bonne question.

ADES

ADRIAN

ADES

Ad’ ne releva pas, il se contenta de se lever et d’attraper son frère par le coup, il lui entoura la nuque avec son bras et frotta sa tête avec son poing, les deux gamins riaient aux éclats, et quand ils relevèrent les yeux, plus personne. Ils se regardèrent, surpris, et ils fusèrent tout deux par la porte, quitte à se poussé. Adès était endurant, mais pas rapide, contrairement à son frère, le premier à se mettre en piste de la vieille fût alors l’aîné. Presque instinctivement, il traversa le champ de blé, et puis… Le noir. La chute. Le sommeil.

A son réveil, il y avait tellement de lumière qu’il fût complètement ébloui. Il dû cligner des yeux plusieurs fois avant de pouvoir clairement voir où il se trouvait. Puis, il y eut le classique, « oh, ma tête ». On passe la main derrière la tête et on s’attend à du liquide que sent mauvais, visqueux, annonciateur de mauvaise nouvelle, mais… Rien. Alors, on se relève, on s’étire, histoire de vérifier qu’on n’a rien de cassé. Puis. Je suis où ? Tu es dans un monde que tu ne connais pas, bougre d’idiot ! Y’a ton frangin ? Non plus. Yes ! Non pas « yes », il t’aime ton frère, et tu l’aimes aussi. Bon aller, Ad’ est de nouveau opérationnel, il n’a plus l’impression d’avoir quelqu’un dans sa tête. Il réfléchit, oui, il a beau faire mine d’être franchement idiot, il est plus intelligent que la plupart des personnes. Et c’est partit, on se remet en marche dans ce nouveau monde… Bon, il faut bien avouer, qu’au début, il avait l’impression de perdre complètement la boule, ça coure de partout, ça délire, et heureusement, personne ne prêtait attention à lui. Mais bon, au bout de 15 minutes à observer ce qui se trame autour de lui, il finit par se dire qu’il rêve. Alors, il se pince le bras, se mord la main, se passe la tête sous l’eau (Aller savoir où il trouve de l’eau, mais il en trouve). Puis, après l’option du rêve, on passe à l’option de la folie. Oui, il devient dingue, c’est forcé… Pourquoi ne pas crier « Arretez tous de bouger cinq secondes et laissez moi réfléchir » ? Parce qu’on a plus envie de se mettre à courir avec eux. Je deviens fou, et vous, ça fait combien de temps ?

Le Comte Messages : 77 Date d'inscription : 24/07/2009

Bienvenue sur le forum !

Roooh non la citation ! Voyons donc ! BATTE

Invité

Bienvnue dans ce monde .... GATEAU

L'Imbécile Intelligent. Messages : 25 Date d'inscription : 05/09/2009 Age : 30

L'Imbécile Intelligent. Messages : 25 Date d'inscription : 05/09/2009 Age : 30

(Et j'adore cet émoticone HEROS

)

L'Imbécile Intelligent. Messages : 25 Date d'inscription : 05/09/2009 Age : 30

L'Imbécile Intelligent. Messages : 25 Date d'inscription : 05/09/2009 Age : 30

Invité

Bienvenue sur White Rabbit

Elle est superbe ta fiche,
je te valide évidemment!

Tu peux te créer une fiche relationnelle,
et une demande de topic dès à présent.
Bon jeu.

L'Imbécile Intelligent. Messages : 25 Date d'inscription : 05/09/2009 Age : 30

» Un couple décalqué, prêt à vous faire rêver - L.
» Astrid L. Fletcher - « Si je ne peux pas couper de têtes, au moins pourrais-je faire poignarder des gens ? Des indésirables ? »
» Pour ma Présentation.
» Recensement pour la nouvelle intrigue.
» Quand je m'endors, c'est pour toujours ... [U.C]