Ma Lame est à votre service, gente Dame et gentil Damoiseau !
Amis ? En voilà une étrange idée ! Encore que ce terme soit de tous le plus adapté...
_ Cassiopeia N.Milligan, dite le Loir : cette Damoiselle est désormais sous ma responsabilité dés lors qu'elle pénétre les bois. J'admets avoir parfois l'impression que je l'ennuie, voire l'amuse, mais quel gentilhomme refuserait de prêter sa lame à quelqu'un dans le besoin ? Bon, j'avoue que je ne comprend pas ce qui la terrorise chez le Chat de Cheshire. Aurait-elle peur de se faire croquer ?
_ Narcisse Lutwidge : mon Ami, que ne tâchez-vous de contrôler vos instincts luxurieux ? Chacune de mes leçons a autant d'effet qu'un caillou sur le cours d'un fleuve - soit aucun. Pourtant, je vous suis des plus attachés, et espère qu'il en va de même de votre côté. Sachez-le, Ami, je prie chaque jour Amorante que vous rencontriez votre Dame. Et d'ici là... je vous sermonnerai dans l'espoir que vous m'entendiez, et jouirai de votre amitié.
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Sire, je vous connais et vous apprécie. Mais ne comptez point que je me sacrifie pour vous.
Les relations sont la toile du canevas de Fortune.
_ Archibald L. Hatwood, dit le Chat de Cheshire : ce personnage est, en dehors des moments où il s'en prend à ma protégée, plutôt sympathique. Je dois dire que ses remarques ne sont pas dénuées de sens, chose qui manque gravement en ce pays. D'un autre côté, sa réputation de mystificateur n'est plus à faire, et je me méfie des directions qu'il peut m'indiquer les rares fois où je lui demande conseil...
_ Rosemary Cartwright, dite la Reine de Coeur : notre Reine est une personne hautement respectable, mais je ne puis supporter de la voir frayer de la sorte avec le bas peuple. Elle y perd une part non négligeable de son prestige : un souverain se doit d'être inaccessible au commun. J'aoue avoir pris l'habitude de la conseiller, tant sur le protocole et sa mise que sur sa manière de régner. Cetains conseils sont appliqués, d'ailleurs. Maitenant, ce que je désirerais savoir, c'est pourquoi elle me fixe avec cet air d'attendre quelque chose de ma part...
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Vous ne valez guère mieux, Sire, que la poussière qui macule mes chausses.
Par ma Dame, je ne vous avais point vu ! Quoique ce ne soit guère étonnant, au vu de votre insignifiance...
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Venez un peu par là, Monsieur, que je vous passe par le fil de mon Epée !
Le Diable était, semble t'il, fort inspiré le jour où il vous a donné le souffle de Vie...
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Envoyez-moi un mp si vous avez des idées de liens, ou postez en dessous !
Sujet: Haro, Compagnons, Devoir nous attend ! 
Ven 3 Avr - 20:05
