Apollon M. Stevens - Un chasseur chassé par la proie.

babine f e a t . Dimitri Vankerkoven .

Apollon Mathéo Stevens dit LE CHASSEUR " Il est très doux de scandaliser : il existe là un petit triomphe pour l'orgueil qui n'est nullement à dédaigner. " Marquis de Sade

" C'est de la bouche des femmes que naissent les plus belles choses. Depuis longtemps, je l'ai compris... "
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Fantaisies de pacotilles, chimères délicieusement narcissiques. Le pays d’Alice semble bien étrange pour mon humble personne. Je n’ai jamais vraiment compris comment marche le monde. Pour celui-ci, tout me paraît machiavéliquement plus simple. Mais avouez que ce n’est pas cela qui vous intéresse. Trop curieux sont les gens de cette terre lointaine, ainsi, pourquoi de pas m’en amuser. Jouons, flirtons un peu avec vos sens et vos perceptions. Je suis un chasseur. Un de ceux, qui loin de vouloir adopter la méthode humaine, préfère celle de l’animal. Plus direct, plus sauvage, plus violente. Elle n’en décuple que toujours d’avantage les fantasmes et provoque l’exaltation la plus totale de mon corps douloureux. J’ai vécu dans une famille aisée depuis ma plus petite enfance. Cependant, de cette vie, aucune place ne m’avait été réservée préalablement. Je devais m’en trouver une, et m’y accrocher radicalement pour ne pas être éjecté tel un vulgaire morceau de viande. Je démarrai donc sur un pas chancelant, ma terrible histoire. Dès ma naissance, on me trouvait charmant. Une fée devait s’être entiché de moi, car pourquoi aurai-je pu avoir un physique de la sorte, sans un petit coup de pouce ? Apollon, m’a nommé ma mère, en hommage au dieu grecque. Celui qui ne pouvait qu’avoir en tendre fiancée, la déesse de l’amour. C’est une évidence, mon destin était déjà tout tracé. Prédestiné à la manipulation des autres par un simple échange de regard, des plus innocents, je vous le jure. Je me découvrais un don. Celui d’obtenir ce que je désirai de toutes femmes. Dans ces relations là, l’âge importe peu, et qui me dira le contraire, je lui promets de lui en faire la démonstration. L’homme n’est pas le sexe fort, comme longtemps il a voulu le faire croire. Il doit faire succomber les femmes, pour pouvoir espérer sortir vainqueur de toutes batailles. Dans un jardin de fleurs, choisir la plus belle ne suffit pas. Il faut avoir un coup d’avance sur elle, si l’on ne veut pas disparaître sous sa rage passionnée. L’amour est un art. Et je m’en réclame l’artiste.

Mon adolescence fut pour moi la révélation que j’attendais. Je découvrais les ravages que je provoquais avec mes batifolages excessifs, et me faisait l’une des plus nobles réputations. On ne pouvait m’aimer, car je l’interdisais, mais on aimait, il est vrai, à me détester. Tout cela ne peut que me faire sourire. Car après tout, celui qui me hait, prouve à mon égo relativement dimensionné, que je ne lui est et serait jamais… Indiffèrent. Ce qui, en soit, me paraît être une chose primordiale dans l'accomplissement de mon œuvre. La vie, je l’arrache. Je la consume. Je la brûle par les deux bouts. J’ai fini avec tous ses excès par faire un tour du côté de la case prison. Environs deux ans, m’ont confié les avocats. Et dans mon cas, c’était un exploit, mon nom pesait en ma faveur ! Pour quel motif ? Voulez vous vraiment le savoir ? Oui, j’ai cette abominable tendance à répondre aux questions, par des questions. Selon moi, cette pratique du langage parle beaucoup plus aux indiscrets. Je suis une énergumène mue par les plus bas instincts de l’espèce humaine. Cependant, je préfère ne pas en faire étalage, et me cacher sous un masque de bohème captivant. Il ne faut jamais sous estimer son prochain. Certains, et certaines, l’ont malheureusement appris à leurs dépends. Malgré cette gueule d’ange. Ce sourire d’enfant. Il n’en est rien. Lorsque l’on sait lire au fond de ce regard, on découvre le profond néant qui anime cette âme si jeune et déjà fanée. De cet endroit où les murs vous enchainent au désespoir et à la haine, je n’en suis sorti que plus aliéné. La famille est un atout majeur. Surtout lorsqu’elle est extrêmement importante dans cette chère société où l’apparence prime sur la sincérité. On me diagnostiqué une maladie mentale idiote, et je sortais libre comme l’air du fantastique séjour de quelques semaines. C’est à partir de cette date que tout a fini par changer radicalement. Petit à petit, je me suis évanoui, moi aussi, de ce monde. Et ce, dans le but de rejoindre celui de cette chère enfant, qui m’offrait alors une seconde chance. Perdu, déboussolé, j’ai d’abord failli plonger dans la folie la plus sincère. Finalement, j’ai rencontré une fleur qu’encore jamais, je n’avais pu observer de ma courte vie de débauché au statut envié. N'essayez pas de divulguer cette gentille petite histoire, je pourrais tout nier.

Callisto. Blondinette, plus belle que mère nature. Beauté insolite, mais épouvantablement envoutante. Elle m’a mise sous ses pétales d’argent, et je me suis lâchement reposé. Sans même jouer avec elle, j’ai simplement écouté, comme toujours je l’avais fait, pour mieux comprendre à quelle espèce je venais me frotter. Petit à petit, elle m’a fait intégrer cet univers inconnu qui paraissait déjà m’aduler. Puis elle m’a présenté à une autre proie de choix, comme toujours elle l’avait fait. Oui, mais cette fois, ce fut un très mauvais choix. La Rose blanche était aimée, la Rose rouge était divinisée. Je n’ai pas fait exception à cette règle logique. Je me suis même découvert une faiblesse. Elle. Zaïa. En opposition avec la douce Callisto, la biche que j’apprivoisé, Zaïa est explosive, une lionne sous substances prohibées. A peine l’ai-je vu, j’ai compris que rien jusqu’alors n’avait pu exister. Malgré tout, Callisto est devenue rapidement pour moi, une poupée de porcelaine que je ne peux me permettre de perdre, trop précieuse à mon petit cœur que je découvrais après 20 années de glaciation polaire. Je sais ce qu’elle éprouve à mon égard, et c’est justement ce que je redoute, car je suis dans l’incapacité de lui offrir ce qui la rendrait enfin la plus radieuse d’entre toute. Oui… J’en suis accablé. Elle ne reste pour moi qu’une amie indispensable au bon fonctionnement de mon psyché, et une carte à abattre si la partie de poker tournait en ma défaveur.

Zaïa, ce fut le coup de foudre dès le premier instant de notre rencontre. Je ne sais pas si le sentiment qu’elle éprouve pour ma personne est du même niveau que le mien. Disons que c’est un jeu similaire à celui du chat et la souris. On se cherche, on se déchire, on se donne des coups jusqu’à nous même en souffrir. Mais finalement, tout ceci n’est qu’un immonde divertissement que l’on s’inflige, tout du moins, pour ma part, je le perçois ainsi. A la fin de la valse, nos retrouvailles n’en sont que plus furieuses, déchainées. Chercher à la dompter, à l’apprivoiser, la soumettre à mon esprit aliéné, est une possibilité. C’est une furie, une Reine d’acier, sous les traits d’une fragile gazelle. Du moins, elle le pensait… Jusqu’à ce que je fasse irruption dans sa vie. Serait-ce possible que je sois sa faiblesse, cette faille que jamais elle n’avait cru cacher ?

Et derrière le masque, qui se cache ?

PSEUDO : Ju'
AGE : 17 ans
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM : par mp. En soit, au tout début de sa création.
COMMENTAIRE ? : Nan. I like It !

Tu sais déjà a quel point tu es orgasmique pour moi.
Que dire a part que j'ai hâte de lire ta fiche et de t'exiber devant le beau monde de ce pays?

Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii t'as vu comme il parle bien? Hein Narcissounet?

OUAH ....
je suis impressionnée, Narcisse a abandonné si vite.

Je suis intriguée par son surnom moi,
"Le chasseur" qu'est ce que tu nous réserve Apollon?

j'ai vraiment vraiment hâte de lire ça.
Meler la manipulation a toute cette histoire ne peut qu'être intéressant.


EDIT : N'oublie pas que t'as a faire a une femme avec un sacré caractère,
tu risque de te retrouver écartelé par des rhinocéros si tu en approche une autre.

Pauvre Narcissounet qui s'inquiète pour son second personnage MOUAHAHHAHAHHAHA

Vous me ravisser tout les deux d'aimer mes PVs

Ahlala je me sens bête moi,
a jamais trouvé rien de mal a vos fiches.
T'es evidemment VALIDE,
j'adore et j'ai hate HATE hate de Rp avec toi

Mais derien mon petit.
j'ai cru comprendre que t'étais volage, quand jm'en rendrait compte tu va devoir supporter des sautes d'humeur torrentiel

Ouais ben prouve le moi sinon tu va te prendre une dérouillé monumentale

T'as d'la chance que j'lai pas encore remarqué, aveuglée par mon amour tout beau tout neuf