White Rabbit
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 Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager)

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MessageSujet: Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager)   Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager) I_icon_minitimeMar 14 Juil - 18:55

    Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager) Heath310
    Heath Ledger
      JAZZ LIBERO ARTES

      dit l'Exilé

      " Andromaque! je pense a vous."



Le Cygne

A VICTOR HUGO

I


Andromaque, je pense à vous ! Ce petit fleuve,
Pauvre et triste miroir où jadis resplendit
L'immense majesté de vos douleurs de veuve,
Ce Simoïs menteur qui par vos pleurs grandit,

A fécondé soudain ma mémoire fertile,
Comme je traversais le nouveau Carrousel.
Le vieux Paris n'est plus (la forme d'une ville
Change plus vite, hélas! que le coeur d'un mortel) ;

Je ne vois qu'en esprit tout ce camp de baraques,
Ces tas de chapiteaux ébauchés et de fûts,
Les herbes, les gros blocs verdis par l'eau des flaques,
Et, brillant aux carreaux, le bric-à-brac confus.

Là s'étalait jadis une ménagerie ;
Là je vis, un matin, à l'heure où sous les cieux
Froids et clairs le Travail s'éveille, où la voirie
Pousse un sombre ouragan dans l'air silencieux,

Un cygne qui s'était évadé de sa cage,
Et, de ses pieds palmés frottant le pavé sec,
Sur le sol raboteux traînait son blanc plumage.
Près d'un ruisseau sans eau la bête ouvrant le bec

Baignait nerveusement ses ailes dans la poudre,
Et disait, le coeur plein de son beau lac natal :
« Eau, quand donc pleuvras-tu? quand tonneras-tu, foudre ? »
Je vois ce malheureux, mythe étrange et fatal,

Vers le ciel quelquefois, comme l'homme d'Ovide,
Vers le ciel ironique et cruellement bleu,
Sur son cou convulsif tendant sa tête avide,
Comme s'il adressait des reproches à Dieu!



II

Paris change ! mais rien dans ma mélancolie
N'a bougé ! palais neufs, échafaudages, blocs,
Vieux faubourgs, tout pour moi devient allégorie,
Et mes chers souvenirs sont plus lourds que des rocs.

Aussi devant ce Louvre une image m'opprime :
Je pense à mon grand cygne, avec ses gestes fous,
Comme les exilés, ridicule et sublime,
Et rongé d'un désir sans trêve ! et puis à vous,

Andromaque, des bras d'un grand époux tombée,
Vil bétail, sous la main du superbe Pyrrhus,
Auprès d'un tombeau vide en extase courbée ;
Veuve d'Hector, hélas ! et femme d'Hélénus !

Je pense à la négresse, amaigrie et phtisique,
Piétinant dans la boue, et cherchant, l'oeil hagard,
Les cocotiers absents de la superbe Afrique
Derrière la muraille immense du brouillard ;

A quiconque a perdu ce qui ne se retrouve
Jamais, jamais ! à ceux qui s'abreuvent de pleurs
Et tettent la Douleur comme une bonne louve !
Aux maigres orphelins séchant comme des fleurs !

Ainsi dans la forêt où mon esprit s'exile
Un vieux Souvenir sonne à plein souffle du cor!
Je pense aux matelots oubliés dans une île,
Aux captifs, aux vaincus !... à bien d'autres encor !



Et derrière le masque, qui se cache ?
    PSEUDO : Appolinaire
    AGE : 19 ans
    COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM : Je suis Le Lievre de Mars, mon capitaine!
    COMMENTAIRE ? : Non. Oui. Peut etre un autre jour. Zephir est le bonheur fou incarne, Jazz Libero est le poeme Le Cygne de Baudelaire incarne: l'exil.
[/list]


Dernière édition par Jazz Libero Artes le Sam 1 Aoû - 19:11, édité 5 fois
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Domitille U. MacLeod
    La petite huître

Domitille U. MacLeod


Messages : 501
Date d'inscription : 18/04/2009
Localisation : peut-être derrière vous en train d'espionner alors méfiez-vous...

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MessageSujet: Re: Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager)   Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager) I_icon_minitimeMar 14 Juil - 18:58



    Bienvenue monsieeur le messager. Ou plutôt devrais-je dire RE-bienvenue...
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MessageSujet: Re: Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager)   Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager) I_icon_minitimeMar 14 Juil - 19:18

Re bienvenue hate de voir ce que tu nous mijote cher Fou. GUY


Dernière édition par Zaïa D. Stymest le Mar 14 Juil - 22:57, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager)   Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager) I_icon_minitimeMar 14 Juil - 19:26

Ahhh XD Heath Ledgeeer >< ETOUFFE ADMIRATIF LECHE PAPILLON

Avec un choix pareil, tu prends des risques mon petit !
Tu vas devoir assurer, sinon mon courroux va s'abattre sur ton crâne d'écervelé ^^
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MessageSujet: Re: Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager)   Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager) I_icon_minitimeMar 14 Juil - 20:01

Re-bienvenue sur le forum, Lièvre de Mars.
Hâte de lire ce que tu vas nous pondre, cette fois (ta fiche précédente était tout simplement super bien écrite).
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MessageSujet: Re: Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager)   Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager) I_icon_minitimeMar 14 Juil - 20:17

Rebienvenue FLEUR Poète dans l'âme =D
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MessageSujet: Re: Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager)   Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager) I_icon_minitimeMar 14 Juil - 23:37

    HEATH ... MALADE
    Re-Bienvenue et je te re-aime très cher ! (:
    Hâte de voir ce que tu vas faire de ce nouveau personnage.
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MessageSujet: Re: Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager)   Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager) I_icon_minitimeVen 17 Juil - 14:25

J'espere donc que je ne decevrais personne (quel poids sur mes freles epaules!!)
Merci a tous, encore.
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MessageSujet: Re: Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager)   Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager) I_icon_minitimeVen 17 Juil - 17:39



    " A quiconque a perdu ce qui ne se retrouve
    Jamais, jamais ! à ceux qui s'abreuvent de pleurs
    Et tettent la Douleur comme une bonne louve !
    Aux maigres orphelins séchant comme des fleurs ! "




    Lettre à Maïs Sorabella.

    Mon amour. Chaque geste est inhumainement dur, si tu savais. Mettre une cigarette entre mes lèvres meurtries, et d'utiliser ce qui me reste de doigts valides pour frotter une allumette, ces gestes si quotidiens qui nous paraissent inintéressants et dérisoires, tout ça me coute du temps, et beaucoup de ma dignité. Lou détourne le regard, quand elle croise mes yeux ou mon corps. Je crois qu'elle a compris tout doucement que son père était autant partie que sa mère, et cela me tue. J'étais détruit psychologiquement, maintenant je le suis physiquement et spirituellement. Tu vois, c'était un doux euphémisme, finalement, quand je te disais que je ne pourrais vivre sans toi. Je me fais doux, certes, je me fais horriblement mièvre aussi, comme un homme qui viens de tomber amoureux. Sincèrement, j'aimerais avoir cette chance. Venir de tomber amoureux de toi, et me demander quelle technique je pourrais employer pour t'embrasser, ou m'entrainer devant mon miroir à te dire je t'aime sans t'effrayer trop fort; non. Je m'entraine à arriver devant ta tombe sans m'effondrer. A ne pas pleurer devant Lou. A survivre.

    Ma Maïs, ma douce. Je ne me sens même pas coupable. Le nœud dans ma gorge n'a que le poids du malheur, pas celui de la culpabilité. J'aimerai te dire 'je suis désolé'. Ça ne rimerai à rien, ce ne serai que des mots sans aucun sens, des fantômes sans raison d'être. Ce qui s'est passé n'était la faute de personne, à par peut être de la mort, mais elle me fascine trop pour que je lui en veuille et puis, en vouloir à la mort, n'est-ce pas le sort des fous?
    Je suis terriblement lucide. Tu m'appelais enfant; je l'étais. Oh, comme tu serais déçue de ce que je suis devenu, mon amour! Comme tu me relancerais à coup de ruses, de jeu et de baiser, et comme bien sur, je mordrais à l'hameçon, m'emprisonnant dans tes tourbillons d'imagination, tes pulsions cocasse et scandaleusement belles, comme je m'emprisonnerai encore entre tes doigts, contre ta peau, dans l'odeur de canelle de tes cheveux...
    Je sais bien. La canelle, c'est mon odeur; si c'est devenu la tienne, ce n'est que parce qu'on passait peu de temps à être dans la même pièce sans être aimantés l'un à l'autre. On nous appelait les enfants terribles, on parlait de nos actes comme du bordel des amants magnifiques.

    Et maintenant, je suis laid. Lou ne sent pas la canelle, je n'aime plus le maïs, mon odeur m'est devenue insupportable, n'étant plus qu'un mélange de chambres d'hôpital et de chloroforme. Tu pense que si je me mets dans un bocal en position fœtale, je serais dans un semi coma à la Cocteau, et que je ne verrai plus les choses passer jusqu'à ce que, un jour, tu revienne réincarnée dans quelqu'un d'autre? J'aimerai avoir foi en n'importe quoi. Mais personne ne m'a appris à avoir foi en quelque chose d'autre qu'en le Petit Prince, et même lui, il avait tort.
    Je t'aime, t'aime, t'aime.
    Jazz Libero.



L'histoire de l'autre côté du miroir
Spoiler:

    Il cherche des yeux le ciel, désespérément, comme un noyé cherche l'air autour de lui tout en sachant qu'il ne le trouvera jamais, et qu'il est foutu. Ses pupilles sont dilatées, et la seule chose qu'il trouve au dessus de lui, c'est un étrange mélange de violet et de bleu qui bouge comme les vagues de la plage de Saint Jean de Luz, quand il était petit. L'air lui manque. Il ouvre la bouche comme s'il pouvait en avoir un tout petit peu. C'est le cas. Mais l'oxygène a un gout différent. Le paysage autour de lui, c'est un sous-bois on ne peut plus déprimant. Le sous bois banal, ombragé par un couvert d'arbres qui ne laisse passer le ciel que par portion. Il a mal dans tout le corps, dans tout le cœur, et l'interminable boule qu'il connait si bien revient dans sa gorge, comme la visite d'une vieille tante qu'on exècre et qu'on a pas vu depuis longtemps. Sa respiration se fait haletante, mais au moins il respire; c'est en sachant pertinemment ce qui va se passer dans quelques secondes qu'il se rend compte que le sang s'est remis à couler dans ses veines, et plus seulement sur le sol, et que son cerveau, ou du moins son esprit fonctionne à nouveau. Il se relève tout doucement pour ne pas avoir mal. Il est nu. En plus des tatouages habituels qui couvrent son corps, il y a ce liquide sombre et tiède qu'il connait bien. Il déglutit avant de fondre en larmes. Il sait bien qu'il ne s'est pas à nouveau fait casser la gueule par les imbéciles qui lui avaient pris Maïs. Il sait que tout ce sang, c'est son œuvre, la sienne et rien d'autre. Et il a tellement honte de pleurer...Mais bientôt ses pleurs se transforment en flaque, puis en fleuve, puis en mer, et le sous bois disparait. Jazz, l'air hagard, le corps meurtri, ne comprend pas, pour la deuxième fois de sa vie. Est-ce un rêve? Et si c'est un rêve, comment cela se fait-il que la douleur dans son corps soit si forte? Est-ce qu'il est mort, et qu'un type barbu style Saint Pierre va venir lui poser des questions puis décider s'il l'envoie dans la fournaise ou sur les nuages? Non, c'est ridicule. Et puis la souffrance est censée prouver la vie, non? Jazz avait toujours eu tendance à penser que la mort lui donnerai une sensation d'engourdissement dans tout le corps, bien qu'il n'aie pas réfléchit si souvent que ça à ce sujet, finalement.

    Puisqu'il n'est pas mort, alors il faut se lever. C'est ce qu'il fait, tout doucement pour ne pas réveiller ses muscles endoloris. Sans encore vouloir penser à la religion, inconsciemment, il se fait l'effet d'un Christ ressuscité descendant de sa croix: le sang coule doucement sur tout son corps, lui formant un étrange tissu de flanelle qui le recouvre peu à peu. Sous ses pieds, il sent du sable. Il tend les bras, et fait trois brasses dans cette mer qu'il a fabriquée; mais il n'y pas le temps d'avancer plus que déjà, l'eau se rétracte, et il retrouve le décor de sous-bois. Si ce n'est pas un rêve, quelque chose ne va pas, c'est clair. Il a l'impression d'être rentré dans un écran de télévision alors qu'il regardait un Tim Burton. Il se remet à avancer, cette fois en marchant, et réalise que le chemin est en pente: le sous bois, étrangement, est situé sur une colline. Quand il était petit, Jazz Libero avait toujours eut la conviction que les chansons se promenaient dans l'air, et que les chanteurs, pour pouvoir les interpréter, se baladaient dans la nature avec des filets à papillons et les attrapaient. A ce moment précis, il se mit à revoir les choses comme s'il avait quatre ans à nouveau: dans l'air se baladait The Fool on the Hill, des Beatles. Alors, seulement, il se mit à paniquer, et ces gouttes de chagrin qu'il trouvait si honteuses se remirent à mouiller ses yeux et son visage. Il serra les dents, attendant la secousse bien connue de la Tristesse, qui noue tout les membres, forme une boule dans la gorge et empêche de parler sans crier.

    -Mais je suis où, bordel! Qu'est-ce que c'est que cet endroit, et pourquoi est-ce que je suis pas mort? C'est dégueulasse, c'est dégueulasse, c'est dégueulasse...

    Et la chanson d'en l'air de finir, et d'être remplacée par une autre. L'amour m'a tué, Cali, une chanson française.

    -Et tu t'éloigne, et tu t'éloigne, et je n'y fait rien. J'aurais du te courir après, me jeter à tes pieds...Il n'y a plus d'amour propre, l'amour m'a tué. La place est au silence, ma douce, alors, pas de bruit dans mon cimetière...

    Il y a une expression que Jazz, grand lecteur, avait toujours lu un peu partout: 'ivre de douleur'. Lui qui ne l'avait jamais compris la ressentait maintenant. Après des années de retenues, les sanglots qu'il ne pouvait plus contenir sortaient de sa bouche comme un mugissement d'animal blessé. C'est un son horrible, un papa qui pleure. Jazz posait ses mains sur sa bouche, touchait son corps comme pour s'assurer qu'il était vivant. Et quand il se fut rallongé, et calmé, n'étant plus qu'un petit tas de chair sur le sol, il entendit quelqu'un parler.

    - Jeune homme, vous rendez-vous compte que vous êtes nu et que vous criez? Ce n'est pas bien de déranger le soleil des autres...
    - Le sommeil, vous voulez dire.
    - Non, le soleil, vous m'avez bien entendu, et je ne suis pas encore gateuse.
    - Mais...Ça dépasse l'entendement. J'étais chez moi, allongé, puis j'étais ici, en train de pleurer, et maintenant...
    - Exact, vous êtiez ici en train de pleurer. Ce qui nous dérange. Voyez, j'ai eu raison de vous interrompre: vous ne pleurez plus, au lieu de ça, vous me parlez. Pourquoi pleuriez vous?
    - Maintenant que vous me demandez...Je n'en ai plus aucune idée...
    - Voila! C'est donc que pour une fois, j'ai eu tort, et que tout va mieux!
    - Vous voulez dire que vous avez eu ra...
    - Venez, mon jeune ami. Vous avez besoin de quelqu'un à qui vous accrocher.

    Et Jazz Libero Artes d'enlacer un arbre.


Du côté de la réalité

- Allez! Allez, il ne faut pas m'abandonner tout de suite, jeune homme, on arrive à l'hôpital. Vous voyez quelque chose? Vous m'entendez? Vous pouvez me dire votre nom?

Il cherche des yeux le ciel, désespérément, comme un noyé cherche l'air autour de lui tout en sachant qu'il ne le trouvera jamais, et qu'il est foutu. Ses pupilles sont dilatées, et la seule chose qu'il trouve au dessus de lui, c'est un étrange mélange de violet et de bleu qui bouge comme les vagues de la plage de Saint Jean de Luz, quand il était petit. L'air lui manque. Il ouvre la bouche comme s'il pouvait en avoir un tout petit peu. C'est le cas. Mais l'oxygène a un gout différent.

- Non, jeune homme, il ne faut pas arracher ça, ça vous aide à respirer! C'est un masque, laissez-le, calmez-vous...

Le paysage autour de lui, c'est un couloir d'hôpital tout ce qu'il y a de plus déprimant. Son cerveau fonctionne, mais au ralenti. Les drogues qu'il a ingérées le font trembler, il ne sait plus très bien ce qu'il doit faire, marcher, rester allongé ou pleurer. Son corps est couvert de sang. La radio gueule dans la chambre d'à côté.
Non. Il est si jeune; c'est dégueulasse, c'est dégueulasse, c'est dégueulasse.

- Accrochez vous à moi, jeune homme. Allez, s'il vous plait! Restez avec moi.

Et Jazz Libero Artes d'enlacer la mort.


Dernière édition par Jazz Libero Artes le Ven 7 Aoû - 20:52, édité 18 fois
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Callisto E. Harvey
La Rose Blanche
Callisto E. Harvey


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MessageSujet: Re: Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager)   Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager) I_icon_minitimeVen 17 Juil - 19:05

    Bienvenue COEUR
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MessageSujet: Re: Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager)   Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager) I_icon_minitimeVen 7 Aoû - 20:51

J'ai fini, je crois bien...
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Nelchael O. Warrens

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MessageSujet: Re: Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager)   Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager) I_icon_minitimeSam 8 Aoû - 17:50

Alalalala,
que c'est triste. C'est vraiment un contraste avec Zéphyr.
J'ai hate de voir tes RPs.
Tu es validé mon ami.
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MessageSujet: Re: Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager)   Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager) I_icon_minitimeSam 8 Aoû - 18:26

Merci demoiselle :)

C'est pas si triste que ça, je pensais faire pire!
Je suis très fier de moi pour la retranscription réel/pays des merveilles.

(oui, je me lance des fleurs tout seul.... ABEILLE )
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Nelchael O. Warrens

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MessageSujet: Re: Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager)   Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager) I_icon_minitimeSam 8 Aoû - 18:31

nan c'est sur j'adore ça aussi,
et c'est surement ce qui rendra extra intéressant tes RPs.
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MessageSujet: Re: Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager)   Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager) I_icon_minitimeSam 8 Aoû - 18:38

Merci :)

Si tu veux commencer un sujet, d'ailleurs...
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Nelchael O. Warrens

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MessageSujet: Re: Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager)   Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager) I_icon_minitimeSam 8 Aoû - 19:51

Mouahaha jouer un peu Nelchael me démange je l'avoue.
En plus avec Jazz...

Ethalidès m'avait promit un topic, mais comme il part en vacance...

On fait un deal,
Tu trouve une relation je commence le topic? Loua
MPotte
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MessageSujet: Re: Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager)   Jazz Libero Artes - L'exilé (ou le Messager) I_icon_minitime

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