White Rabbit
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 i'm a deluxe edition.

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MessageSujet: i'm a deluxe edition.   i'm a deluxe edition. I_icon_minitimeMer 1 Avr - 18:39

    i'm a deluxe edition. Mhy73r
    KIRSTEN DUNST
      ~ AULNAY VAN AALST

      dite NUDE.

      "I'll take my clothes off and it will be shameless cuz everyone knows thats how you get famous."



      2) Vous voilà bien attrapé ! Vous avez tardé à rentrer et vous voilà maintenant perdu au beau milieu du labyrinthe dans l'obscurité, faiblement éclairé par le croissant de lune. Comment allez-vous vous sortir de cette situation cauchemardesque ? Qui allez-vous rencontrer ?



    Heureuse nouvelle. J'étais sur quelque chose de piquant, rugueux, et un peu mou en dessous. Par un raisonnement logique qui me prit quelques secondes, j'abouti au fait qu'il s'agissait d'une pelouse, bien taillée, d'après ce que me disaient mes mains. Il faisait sombre ; noir, en fait. Seule une espèce de tâche demi-circulaire au dessus de moi me permettait de voir mon nez, mais pas plus loin. Oh, mon joli nez, si bien retroussé, tout fin, et agréable au touché. Ma peau, parfaite elle aussi, paraissait d'autant plus blanche, et de toute part, ce qui m'inquiéta un instant. Parce qu'il semblait faire nuit et que je ne me souvenais nullement de ce qui avait précédé mon réveil, je déduis lentement qu'encore une fois, j'étais nue, et ceci en extérieur, vu la température de l'air ambiant - car je suis comme une grenouille, et que je peux te dire quel temps il fera demain. Ca provient d'un dérèglement du système d'évacuation de l'eau par les pores de peau, et si c'était le coeur du débat, j'en aurais bien parlé plus longtemps, cependant, ce n'est pas le cas.
    Ainsi, donc je me trouvais nue sur une pelouse dont je n'avais pas encore connaissance de la superficie, ni de s'il y avait d'autres personnes à proximité. Enfin, le lieu était étrangement silencieux, et de ce fait, je me dis qu'il n'y avait pas le moindre signe de vie dans les environs. Je fus déçue, un instant, de savoir que personne n'aurait l'honneur et le plaisir de me voir ainsi dévêtue, mais je m'en remis vite, et pris pour décision de me lever, car j'étais toujours assise à méditer, les fesses dans l'herbe. Après avoir passé mes mains à peu près partout, dans un périmètre de soixante centimètres à la ronde, je conclu, n'ayant rien trouvé, que je n'avais pas pu laisser de petite culotte en m'endormant. Si quelqu'un m'avait violée, alors je ne le saurais pas, en fait, à moins d'aller chez mon gynécologue, ce qui me prendrait du temps et de l'argent. Mais je ne manquerais pas de mener l'enquête sur la raison de ma présence ici, qui m'intriguait fortement. Avant cela, tout de même, je devais déterminer ma position exacte, l'heure précise, et la distance entre moi et la boutique Zadig & Voltaire la plus proche. Trouver des vêtements et âme qui vive arriveraient dans des priorités plus secondaires ; cependant, me voyant dans l'impossibilité d'accéder à mes premières priorités, mon sens de l'orientation avoisinant zéro, j'entrepris de me déplacer. Ainsi, les bras de chaque côté de ma svelte personne, je me levai, perdant légèrement l'équilibre, mes jambes étant légèrement engourdies. Vu cet état de léthargie, je ne pouvais qu'avoir été violée ; et pourquoi violée ? Parce que j'aurai pu être complètement soul, si j'avais été consentante, je m'en serais souvenue. Un minimum.
    Désormais debout, et relativement stable sur mes pieds, je me mis à tâter mon nouvel environnement : j'écartai franchement mes bras, jusqu'à ce qu'un mur peu rigide m'empêche de m'étirer de toute ma longueur. Au bruit que faisait ce mur, je compris qu'il s'agissait d'une haie. D'un mur végétal, en quelque sorte, mais d'un mur, oui.
    Et si depuis mon réveil, j'ai l'air de beaucoup réfléchir, n'en tenez pas compte : si penser et raisonner sont des choses indispensables dans la vie de l'être humain, sachez que ce n'est pas mon activité favorite et que je n'utilise mon cerveau qu'en cas d'extrême urgence. En l'occurrence, être perdue, nue, souillée, sur une pelouse sombre entre deux haies, est ce que je considère comme une situation à prendre en considération. Ainsi, pour me sortir de ce lieu, que je pensais être le labyrinthe, je décidais de marcher un peu, les mains contre les feuilles des haies, afin d'être sûre que je ne quitterais pas ce petit couloir, sans que ce ne soit de mon propre gré. J'avançais, et au bout d'une trentaine de mètres de marche indécise, je me rendi compte, grâce la lumière de la lune qui augmentait légèrement la visibilité, que l'allée dans laquelle je me trouvais continuait sur encore une centaine de mètres, Désormais pleine d'assurance, et la lune me réchauffant un peu, je me mis à trottiner, les yeux fermés, les mains toujours sur le côté, frolant les feuilles pour qu'il s'en déguage ce doux frottement que j'aime plutôt. Je crus à un rêve, en fait, car un léger vent se levait, et renforcait mon désir ultime et incontrolable de déambuler nue dés que je le pouvais. Cela confirmait mon idée d'une vie qu'il vaut mieux vivre dévêtu, plutôt que confiné dans des vêtements dont l'utilité ne dépasse pas l'envie de beauté qu'ils comblent. Enfin, je rouvris les yeux, pensant que j'arrivais au fond de ce couloir, et j'eu raison. Je tournais à droite, les paupières mi-closes, jusqu'à trouver, en face de moi, un étrange jeune homme tourné vers la lune et semblant la dessiner. Ettonée, je m'avançais ; il leva les yeux vers moi, bien sûr, et je crus reconnaitre mon agresseur. En fait, que ce soit lui ou non, ce jeune homme avait beau avoir l'air abruti et innocent, il était trop facile de cacher son jeu et ainsi je me dis qu'il était forcément mon violeur, si encore j'avais été violée.
    Enfin je m'avançai vers lui d'un pas décidé, sans la moindre pudeur, face à mon corps nu. Arrivé à son niveau, il me sembla naturel de le gifler pour ce qu'il avait fait, bien que j'avais sûrement apprécié, vu que je ne suis pas du genre pudique, vertueuse ou coincée. J'aime mieux agir, sans réfléchir, naturellement, comme je l'ai dis plus tôt. Et devant l'air gaga de mon interlocuteur resté sans voix, il me prit l'envie de la gifler une deuxième fois, mais doublement plus fort. Ainsi je ne me privai pas et colla de nouveau ma main sur sa joue plutôt douce, que j'eu même envie d'arracher pour me la greffer sur la plante des pieds. Mais comme ce serait difficilement faisable, vu que je n'avais pas de chirurgien plastique dans ma poche, je renoncai, et à la place, j'entrepris de l'engueuler un coup.
    « Alors en plus de me violer, tu me voles mes fringues ! Et ne fais pas l'innocent, hein, mes yeux ne me tromperont jamais. Et pour cause, je te revois encore m'arracher mes vêtements avec un petit rire sadique, et me serrer par les hanches au point de me laisser les marques rouges que tu vois là. »
    Je lui montrais mes hanches pour appuyer mes propos, cependant, impossible de dire, dans l'obscurité, s'il y avait bien présence de marques rouges ou non. Avec un peu de chance, les mécaniques de mon corps allaient peut être, sentant mon angoisse, en faire apparaître de bien jolies et bien réalistes. Quelques secondes, j'ai cru en Dieu, en espérant qu'il exaucerait ma prière. Mais voyant l'air toujours aussi incrédule de ce cher Henri, car il s'appelait ainsi, selon mes souvenirs, je me dis qu'il n'y avait certainement pas de taches rouges sur ma peau.
    « Et s'il te plait, ne prend pas ton air innocent, et dis moi où tu as caché mes vêtements. Sans ça, je serais obligée de t'étrangler, et le double homicide hyper-volontaire que tu as commis cette nuit. Ca te dit ? Ah ! Je savais que ça te plairait, espèce de sado-maso. »
    Je fronçais les sourcils sans trop savoir pourquoi. En fait, je réalisais que Henri était parfaitement bien habillé, les yeux biens ouverts. Tous signes qui permettaient de dire qu'il n'aurait pu violer personne dans les heures précédentes. Enfin, vous comprendrez ma logique qui, disons-le, n'est pas commune. Mais tout bien réfléchi, Henri n'était peut être pas mon violeur. En fait, avais-je seulement été violée ? Avant même qu'il ne puisse parler, et que l'idée ne me pénètre trop, je le giflai une dernière fois avant de partir, à la recherche de la sortie.

    Et derrière le masque, qui se cache ?
      PSEUDO : Je suis Buddy Holly, mon ptit.
      AGE : 16 ans.
      COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM : par Brooklyn.
      COMMENTAIRE ? : En fait, j'appelerai plutôt ça "Préface de l'admirable auteur que je suis". Enfin, notez que j'ai décidé d'écrire ma présentation à la première personne du singulier, ce qui ajoute un caractère intimiste et... ouais, heureuse d'être là, quoi.


Dernière édition par Aulnay van Aalst le Ven 3 Avr - 18:30, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: i'm a deluxe edition.   i'm a deluxe edition. I_icon_minitimeMer 1 Avr - 18:49

    Bienvenue très chère. (:
    Kirsten Dunst et Lily Allen, très bons choix.
    Bonne chance pour la suite de ta fiche.
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MessageSujet: Re: i'm a deluxe edition.   i'm a deluxe edition. I_icon_minitimeMer 1 Avr - 19:25

    Bienvenue ! :D
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MessageSujet: Re: i'm a deluxe edition.   i'm a deluxe edition. I_icon_minitimeMer 1 Avr - 19:41

Je n'aime pas me sentir supérieur à toi, alors, trois amis, ça te botte?
Bienvenue, donc.
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Cassiopeia N. Baranovski
    Le loir

Cassiopeia N. Baranovski


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MessageSujet: Re: i'm a deluxe edition.   i'm a deluxe edition. I_icon_minitimeMer 1 Avr - 19:47

    Bienvenue Aulnay (:
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MessageSujet: Re: i'm a deluxe edition.   i'm a deluxe edition. I_icon_minitimeJeu 2 Avr - 9:45

Brooklyn, c'est trop gentil :lol: Seulement tu as une amie de plus que moi, j'espère que tu y remédieras.
Merci à vous.
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MessageSujet: Re: i'm a deluxe edition.   i'm a deluxe edition. I_icon_minitimeJeu 2 Avr - 17:41

Une Kristen Dunst !

Bienvenue sur White Rabbit :cheers:
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MessageSujet: Re: i'm a deluxe edition.   i'm a deluxe edition. I_icon_minitimeVen 3 Avr - 18:31

finished.
:cheers:
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MessageSujet: Re: i'm a deluxe edition.   i'm a deluxe edition. I_icon_minitimeVen 3 Avr - 18:45

    Contente que tu sois là également !
    J'ai rien à redire, j'aime beaucoup, que ce soit le style ou le personnage. I love you
    J'hésite un peu, jardin des fleurs ou château de cartes ? Pour la peine, t'as le droit de choisir (wahou trop cool.)
    Enfin dans tous les cas tu es validée, of course.
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MessageSujet: Re: i'm a deluxe edition.   i'm a deluxe edition. I_icon_minitimeSam 4 Avr - 10:30

Chateau de cartes, plutôt.
Merci beaucoup. : )
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MessageSujet: Re: i'm a deluxe edition.   i'm a deluxe edition. I_icon_minitime

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